Le monde combattant

La déclaration de guerre

Témoignage de Madame Chauvau
Le tocsin sonne l’annonce de la guerre. L’institutrice demande aux élèves de rentrer chez eux.

Témoignage de Madame Bertron
Le tocsin sonne. Madame Bertron rentre chez ses parents et s’écrie « Ce n’est pas la déclaration de guerre, c’est la mobilisation générale ».

La mobilisation et le départ des soldats

Témoignage de Sœur Madeleine David
Son père est trop âgé pour être mobilisé. Il demande à sa fille de ne pas se réjouir. Aide dans les fermes. Tocsin, tambour ; recommandations de son père (7 ans).

La vie sur le front

Être mobilisé

Témoignage de Monsieur Le Roux
Engagé volontaire dans l’artillerie, il fait ses classes à Vincennes avant d’être envoyé en Champagne pour l’instruction pratique puis sur le front.

Les combats

Témoignage de Monsieur Le Roux
Artilleur. Relations entre soldats « Y en a encore un qui va apprendre à son père à faire des gosses. Écoute-donc ce que je te dis et fais donc comme ça. ». « Quand ça tombe, vous vous garez. »

Madame Madeleine Fresneau
La Bataille de la Marne ; les taxis ; son père en aurait pris un. Paris sauvé.

La vie quotidienne

Témoignage de Monsieur Leroux
Alimentation : ravitaillement, musette

Témoignage de Madame Euxibie
Les disparus : l’exemple du fils de son institutrice

Témoignage de Madame Euxibie
Uniforme français pantalon garance au début de la guerre.

L’évolution de la guerre

Témoignage de Madame Bordage
Son fiancé écrivait que la guerre ne serait pas longue : « On fusille les Allemands comme des petits lapins. » …« Il ne pensait pas qu’il en avait pour 5 ans. »

Témoignage de Madame Geneviève Vilain
Les mutineries sur le front : le coup de grâce donné par son père médecin militaire ; « parents avisés que leur fils ou leur mari était mort en lâche ». Évoque la réhabilitation.

Témoignage de Madame Marie-Joseph Prézeau
Mutinerie sur le front « On comprenait la lassitude des soldats » « ce n’était pas qu’ils n’aimaient pas la France »

Témoignage de Sœur Jeanne Closier
Les déserteurs ; jugement de la population « mépris » ; « comme des traîtres »

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